Recevez gratuitement notre Newsletter !
Ce qu'on en dit dans les médias
PHOTO DANIEL MALLARD, AGENCE QMI

Résultats de recherche d'images pour « journal de montréal »

Indépendance du Québec : le PQ pas assez près des communautés culturelles

 

Comment rallier les diversités sous la cause souverainiste et les pousser à s'identifier à la nation québécoise? Simplement en prenant le pouls de ce qui se dit dans les communautés culturelles, et en reconnaissant ce que certains membres de ces groupes ont fait pour le Québec, croit l'auteur juif indépendantiste Victor Teboul. Lire la suite


Résultats de recherche d'images pour « L'AUT Journal »

2017/01/20 | Par Pierre Dubuc

J’étais plongé dans le livre de Victor Teboul, Les Juifs du Québec. In Canada We Trust. Réflexion sur l’identité québécois (L’ABC de l’édition) quand Jean-François Lisée a annoncé l’embauche d’Évelyne Abitbol, une marocaine de confession juive, comme « conseillère à la diversité », la nouvelle appellation à la mode pour désigner les communautés culturelles. Au même moment, paraissait dans le Globe and Mail une entrevue avec Charles Bronfman – le commanditaire de la série « Les Minutes du Patrimoine », ces capsules historiques qui faisaient rager Pierre Falardeau – à l’occasion de la publication de ses Mémoires sous le titre Distilled: A Memoir Of Family, Seagram, Baseball, And Philanthropy (Harper Collins). Les trois sujets ne sont pas sans liens. Lire la suite


Originaire d’Égypte et arrivé au Québec en 1963 via la France, Victor Teboul est lui-même juif et a choisi de s’identifier sans réserve à la nation québécoise et d’en épouser les aspirations souverainistes. Avec Zabi Enâyat-Zâda dont je soulignais récemment le parcours migratoire, Victor Teboul est un exemple d’intégration et d’adaptation réussies à la société québécoise. Lire la suite


/La Voix Sépharade

L’auteur Victor Teboul s’identifie pleinement au nationalisme souverainiste québécois et souhaite que l’ensemble de la société québécoise soit sensible à son passé : la révolte des Patriotes en 1837-38, la Révolution tranquille et les luttes menées contre une certaine discrimination des francophones jusqu’aux années 60 ainsi qu’aux deux référendums perdus par les souverainistes. Il ne néglige pas pour autant la mise en valeur de personnalités progressistes quand bien même elles défendaient le fédéralisme. Pour en finir avec l’isolement des communautés, l’auteur invite les Québécois à assumer leur passé avec ses dérives mais aussi avec les pages qui firent honneur au Québec en matière des droits de l’homme ... Lire la suite


Cliquez pour agrandir.

Cher Monsieur Teboul,

Permettez-moi de vous exprimer toute mon admiration pour votre livre, Les juifs du Québec, in Canada we trust, et d’en faire le plus favorable éloge. Votre livre est un bijou qui brille de mille et une facettes. Je suis touchée par votre connaissance de l’histoire du Québec et votre attachement à cette patrie que vous avez choisie. Pure-laine, je me considère judéo-chrétienne, sioniste et à la lecture de votre livre, j’estime et j’aime encore davantage les juifs même selon leur diversité. Toutefois, vous m’avez fait réaliser combien je n’ai pas su aimer notre pays, le Québec. J’ai souvent levez le nez et à l’étranger je me suis toujours présentée comme canadienne-française. Ce ne sont pas seulement les juifs qui se disent «montréalais»! J’ai grandi sous la mentalité américaine de parents bilingues. J’ai mis beaucoup de temps à apprécier la culture française et québécoise. Lire la suite


Comme il l’affirme dès l’introduction, Victor Teboul en a contre la mentalité d’assiégé de « certains groupes ethnoculturels gagnés au multiculturalisme canadien, dont les médias de langue anglaise ne cessent de faire la promotion ».

« Comment dans ces conditions s’identifier aux luttes démocratiques des Québécois en faveur d’une société laïque et égalitaire, et ne pas se sentir assiégés ? » s’interroge-t-il. Selon lui, leur méconnaissance du Québec empêche ces groupes de s’y identifier. Tout cela, Victor Teboul le pense depuis longtemps, au moins depuis l’affaire Michaud, mais c’est le débat sur la Charte des valeurs qui l’a décidé à rassembler ses écrits dans un essai percutant. Lire la suite


par Osée Kamga, Ph.D. (UQAM), Université de Sudbury, Canada

Bienvenue chez Monsieur B.! est un plaisir de lecture. L’histoire se passe dans les cercles d’influence juifs montréalais, et met en lumière leurs ramifications avec le politique aussi bien à l’échelle provinciale que fédérale. Maurice Ben Haïm est recruté par le philanthrope Monsieur B. pour diriger un organisme de sa création voué à la réconciliation des peuples. Le nouveau directeur va découvrir, atterré, que le vrai pouvoir se situe à plusieurs lieux des cabinets ministériels, que dans le jeu politique, les alliances se font et se défont au gré des intérêts, que l’argent a le dernier mot et les idéaux ne sont que vaines paroles. Lire la suite


par Marc Audet, Voir

Ce roman de Victor Teboul nous plonge au cœur des cultures et des politiques qui les expriment sous couvert de fiction romanesque. Pourtant, impossible d’oublier, malgré les avertissements usuels concernant le hasard des ressemblances des personnages à des personnages bien réels, le lecteur s’y retrouve comme si on lui avait donné la carte des rues d’une ville qu’il connaît déjà.  Lire la suite
 


par Éric Paquin, journal Voir

Alors que la nouvelle Constitution canadienne est sur le point d'être signée et que le PQ a été reporté au pouvoir malgré la récente défaite référendaire, le journaliste Maurice Ben Haïm voit son existence chamboulée par une entrevue télévisée que lui a accordée un ancien tortionnaire nazi. Remarqué par l'énigmatique Monsieur B., un multimilliardaire juif, Maurice sera invité à diriger une sorte de think tank montréalais financé par celui-ci et destiné à promouvoir la réconciliation des différents ennemis de la planète, autant des Juifs et des Palestiniens que des indépendantistes et des fédéralistes. Lire la suite


par Paul Proulx

Bienvenue chez Monsieur B est le dernier roman publié de Victor Teboul. Éd. L'Harmattan, 2010, 193 p.

Ce dernier reflète une situation bien réelle au Québec, telle que l’a révélée la Commission Bouchard-Taylor. Est-ce que les diasporas menacent les fondements des sociétés qui les accueillent ? Lire la suite
 


    [1] 2    Suiv.  >>